Ces propriétés sont privées et ne se visitent pas.
La partie la plus ancienne date du 16e siècle. Le manoir a longtemps appartenu à la famille de Goësbriand. Puis vers 1890, il fut acheté par la famille Bréart de Boisanger qui en est toujours propriétaire.
Une partie de ce manoir date du 16e siècle. En 1901, la propriété est vendue à la famille de Gondrel, puis à Henry des Abbayes, botaniste renommé (1898 - 1974), en 1937. Elle est depuis 1961 la propriété de la famille de Parcevaux.
Construit en 1860 pour la famille de Parcevaux, il fut vendu en 1926 à la famille Bréart de Boisanger. En 1940, elle met le château à la disposition de religieuses, « les Filles du Saint-Esprit » qui y créent une école ménagère rurale. À partir de 1967, l'édifice est transformé en maison d'accueil ouverte à des groupes variés du monde ecclésial, religieux ou éducatif. C'est désormais un centre spirituel sous la responsabilité du diocèse de Quimper et Léon.
Le four à chaux a été construit pour l'exploitation d'un gisement de calcaire situé de l'autre côté de la Mignonne. Il a fonctionné de 1927 à 1960.
Le pont de Mel Coz construit (ou reconstruit) en 1702 sur l’ancienne voie royale 170, connue aussi sous le nom de « voie romaine » pour enjamber la Mignonne, est un bel exemple de l’architecture civile du début du 18e siècle.
Construit dans les années 1992 pour supprimer un passage à niveau avec une participation de la SNCF.
Dans le Léon, le lin était blanchi en écheveaux de fil dans des édifices spécifiques : les « maisons buandières » ou « kanndi » en breton (de kanna : blanchir et ti : maison). La plupart sont dans des états assez délabrés comme ceux de Cleuz Bras et de Penbran.